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Gestion de projet vs. Lean Six Sigma … complémentaires?! (3ième partie)

Ceci étant dit, dans les articles précédents je présentais les différences entre l’approche « traditionnelle » de gestion de projet et l’approche LEAN ainsi que la différence entre les rôles et responsabilités des intervenants.

Dans cet article je vais tenter de mettre en parallèle les phases de l’approche de gestion de projet et celle du Lean Six Sigma, ainsi que les approches  de résolutions des différents enjeux à résoudre au cours du projet. Enfin, je toucherai au niveau d’implication des participants dans l’une comme dans l’autre des approches.

Les phases

LEAN

Traditionnelle

Définir Phase identification
Mesurer Phase définition
Analyser Phase définition
Improve (Améliorer) Phase de réalisation
Contrôler Phase de clotûre

Les phases de projets sont similaires, par contre avec la méthodologie Lean 6 Sigma on s’assure que le phase mesurer et analyser ne soit pas oubliés ou ensevelie dans la phase Définition. En effet, le black belt doit pouvoir avec l’aide des green belts élaborer un plan de collecte de données qui permettra de choisir basé sur les faits les initiatives ou solutions a entreprendre.

Comme le présente la figure qui suit, un projet Lean a une durée qui se définit sur une période entre 3 et 9 mois, alors qu’un projet traditionnel peut se poursuivre sur plusieurs années.

De plus, les projets utilisant l’approche Lean tentera d’avoir le plus grand impact en utilisant des solutions simple qui seront adoptés plus facilement par les équipes de travail. En fait, l’approche Lean, force les gestionnaires et les participants à suivre une discipline et se fier aux analyses et données démontrant si oui ou non l’initiative ou l’amélioration à faire en vaut la peine.

Traditional Project Management vs Six Sigma Cycle – http://www.mymanagementguide.com/project-management-basics/six-sigma-project-management-definition-cycle-success-factors/

Pour répondre si l’approche traditionnel et Lean son complémentaire?

Je dirais potentiellement oui… sous les condition suivantes:

  1. que le gestionnaire de projet est un black belt ou coacher par un black belt
  2. que le gestionnaire de projet est conscient des enjeux d’amélioration
  3. qu’une tâche en retard dû a une complication pourra déboucher en une sous initiatives du mandat actuelle. Il faudra alors à l’équipe de déterminer l’impact de cette complication sur le reste de l’initiative et en aviser le sponsor.
  4. le gestionnaire de projet n’est pas seul maître à bord, que son équipe est là pour le supporter dans la livraison des enjeux à livrer.
  5. que le gestionnaire de projet et l’entreprise soit consciente qu’une approche Lean, n’a pas un début et une fin mais qu’elle s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue.

Enfin, personnellement l’approche traditionnelle manque de “proximité” avec les acteurs du projet, elle force des étapes de gestion de changements plus grande que lorsque dès le départ avec l’approche Lean ce sont les utilisateurs qui déterminent sur quoi il faut travailler, ils se sont déjà approprié le résultat du projet .

je  vous invite à lire les article suivants qui touche ou complète ce que j’essai de démontrer dans mes articles.

http://www.pmi.org/Knowledge-Center/Publications-PM-Network/Feature-Lean-Management.aspx

http://www.mymanagementguide.com/project-management-basics/six-sigma-project-management-definition-cycle-success-factors/

http://gpp.oiq.qc.ca/img_c1p2_gespr_p19_fig4.png

http://www.projectsmart.co.uk/project-management-six-sigma-project-management.html

Gestion de projet vs. Lean Six Sigma … complémentaires?! (2ieme partie)

Comme présenté dans la première partie, je crois qu’un des éléments distinctifs de l’approche LEAN vs. une approche de projet traditionnelle réside dans ce qui guident les dirigeants qui ont  choisis le LEAN à regarder leurs processus en fonction du client, plus précisément si les processus ajoutent une valeur pour le client.

Les rôles et responsabilités

Ceci étant dit, un autre élément, qui selon moi, distingue les deux approches sont la définition des rôles et responsabilités dans les deux approches. Read the rest of this entry »

How leaders kill meaning at work ou comment les dirigeants démotivent le sens du travail de leurs employés

Me re voilà donc pour vous présenter un article que j’ai lu avec intérêt, cet article a été écrit par Teresa Amabile et Steven Kramer. Le titre de cet article est “How leaders kill meaning at work” (cliquez ici) . Ils ont fait des sondages qualitatifs auprès de 669 gestionnaires provenant de différents horizon. Dans cet article ils nous présentent les 4 pièges recensés.

  1. Piège de la Médiocrité
    Votre entreprise présente une vision, des strategies qui semblent gagantes… la rėalité est tout autres…quand comme le veut l’expression, les bottines ne suivent pas les babines. Les auteurs donnent l’exemple d’une entreprise qui présente qu’elle innove, quand en realité elle ne fait que chercher à faire des économies. Cette situation a eu pour effet de demotiver les employés, qui a eu un effet desastreux pour cette entreprise
  2. “Déficit d’attention” stratégique
    ce deuxième piège est lié que malgré que tout les signals sont présents les gestionnaires de l’entreprise décide de ne pas prendre le temps d’évaluer les résultats et bénéfices des actions entreprise.
  3. “Keystone Kops” Corporatif (policiers des films muet)
    Comme ces policiers de film muet, il semble n’y avoir aucune coordination ou logique dans les décisions prises par les dirigeants. Malgré un semblant de coordination on oublie les tâches essentiels de gestion et paramètres de succès de l’entreprise, comme les achats, operations, etc.
  4. Objectifs audacieux illégitimes (Big, hairy audacious goals)
    Good to Great, Jim Collins dans sont best seller parle du BHAG, des objectifs ambitieux qui porteront l’entreprise a un autre niveau… Oui, par contre ces objectifs doivent demeurer réaliste dans le cadre de l’entreprise. Les auteurs parlent encore une fois d’entreprises dont les dirigeants mettent en place des objectifs qui sont déconnectés de la réalité de l’entreprise. Ces objectifs ont pour effet encore une fois la perte d’engagement des employés.

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Ces jours-ci ou mon point de vue sur l’actualité…

Ces jours-ci je suis un peu perplexe face aux actualités.

F35, grève étudiante, registre des armes à feux, Aveos, Air Canada, budget provincial, budget fédéral,… et j’en passe.

Lorsque je regarde tout ça j’ai l’impression qu’un fil conducteur les relient toutes… Un manque de vision, un manque flagrant de courage de gestion et/ou carrément une mauvaise gestion.  Je ne juge pas, ce n’est que ma perception.

Prendre une décision c’est difficile, prendre la bonne est parfois un coup de dé. Alors on regarde comme spectateurs et on tente d’apprendre. La question… Apprenons nous?

 

Un retour?!?…mea culpa

Ça fait un sacré moment que je n’ai pas fait un article sur mon blogue… paresse, manque de temps, beaucoup de boulot, entraînement sont tous des raisons plus ou moins bonne pour ne pas avoir fait de écrit sur mes opinions et idées relatives à l’actualité et mes autres centres d’intérêts.

Pour faire une récapitulation rapide, après les Olympiques, retour à Montréal, installation dans la maison, petite mise en place, recherche d’emploi, passage d’entrevues, encore des entrevues, entrecoupés d’offres d’emplois, une acceptation, un accouchement, entraînement pour demi-marathon/marathon, débuter le nouvel emploi en novembre.

Je peux dire qu’il y a eu beaucoup de choses en peu de temps.

Je me donne comme défi de reprendre du collier et faire au minimum une chronique par semaine.

Alors à bientôt !

On tue la Une… Ou fin d’une aventure, début d’une autre

On tue la une… C’est cette phrase de Remi Girard lançait dans l’émission Scoop, qui me revient en tête. Pourtant ce n’est pas une nouvelle d’intérêt public, elle a peu d’impact sur la société mais qui en a une sur mon avenir professionnel.

Pour ceux qui me suivent, le 30 juin dernier marquait ma dernière journée au sein du programme Olympique de Bell Canada, j’étais loin de me douter qu’elle marquerait ma dernière journée au sein de l’organisation qui m’a permis de me développer et avancer dans ma carrière.

Durant ces dix dernières années j’ai participé à des projets importants qui ont culminé avec ma participation aux jeux olympiques. J’ai eu la chance de travailler avec une équipe formidable durant les Olympiques qui a su mettre toute ses ressources pour obtenir une médaille d’or!

Dès mon retour à Montreal, j’ai commencé à faire une recherche d’emploi active. Après 3 mois d’entrevues et de négociations avec plusieurs entreprises, j’ai décidé de joindre l’équipe de Belron, une compagnie présente dans plus de 33 pays. Mon rôle au sein de Belron Canada sera celui de Chef Processus Conversion. Travailler à comprendre l’impact du service à la clientèle et a son offre est très motivant. Je suis très heureux de ce changement car je crois qu’il y a tellement à faire dans ce domaine. Fournir un service de qualité à une clientèle souvent plus informé que l’agent de l’entreprise.

Selon moi, il faut pouvoir fournir a notre clientèle une valeur ajoutée dans l’offre de service. Les prochaines semaines sont importantes pour faire l’apprentissage de la culture et de l’approche de Belron.

J’espère pouvoir être en mesure de partager avec vous mes apprentissages sur la conversion et les meilleures pratiques qui sont utilisées dans le domaine!

Souhaitez moi bonne chance!!!

Écologie et chaînes d’approvisionnement… le dilemme!

Cette semaine avait lieu le congrès mondial sur l’énergie à Montréal. Cet événement a presque passé inaperçu dans les médias tellement que le focus était sur les stylos de M.Bellemare dans le cadre de la commission Bastarache.

Le président du conseil mondial de l’énergie, M.Pierre Gadonneix a dit dans son discours de clôture en disant ceci:

…La croissance durable n’est plus une option. C’est une nécessité. L’objectif est clair. Le défi pour nous tous, c’est de définir le meilleur chemin pour l’atteindre. Et je suis convaincu que pour y parvenir, il faudra plus que jamais favoriser la coopération et le dialogue entre toutes les parties-prenantes du secteur…

Je suis d’accord avec lui et selon moi des choix dans le type d’énergie utilisé pour fabriquer les produits devra être pris en ligne de compte afin de développer une croissance durable.

Je me trompe peut-être, personnellement, je crois que les spécialistes en logistiques, transports et en gestion de la chaîne d’approvisionnement doivent réfléchir lors du choix de faire l’impartition de certains produits dans les pays émergeants du BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine).

Une question se pose, alors, parlons nous vraiment d’écologie ou d’économie?

De mon point de vue, il semble clairs que l’écologie devient un bel emballage pour des décisions économique et vice-versa. Un baril de pétrole qui aujourd’hui se transige entre 75$ et 85$ depuis quelques mois, peut s’avérer un élément important dans le coût de revient d’un produit fabriqué à l’extérieur.

Selon un document de McKinsey & Company le transport de matières consomme près de 15 millions de baril de pétrole par jour, près du cinquième de la production mondiale, à 50$ le baril on parle donc d’un coût de consommation de pétrole globale de près de 750 millions de dollars par jour. Imaginez, si on réduisait cette consommation de 10% par jour… les résultats pour notre société pourraient être les suivants: (j’idéalise)

  • Selon le World Food Program ça ne prend que 0.25$/jour  pour nourrir les gens dans le besoin. Si je ne me trompe pas, 75 millions$/jour donnerait grosso modo 300 millions de repas…
  • Si on allouait l’argent d’une année de réduction d’une année pour des recherches comme le cancer on parle d’un montant de près de 28 milliards!
  • vous voyez l’idée…mettez une cause, et vous aurez les millions…

Bon fini de rêver!

J’en conviens, c’est utopique de penser que nous (Entreprises, gouvernement, individus) ferions le don de ces millions pour améliorer notre sort comme société. Par contre, en tant qu’individu, je crois qu’il faut se questionner et remettre dans le contexte notre utilisation de l’énergie, comme le pétrole et voir les moyens de réduire cette consommation, soient en revoyant les stratégies de fabrication,  d’impartition, les modes de transport utilisé ainsi que la  taille et le poids des produits fabriqués.

Dans la présentation interactive de McKinsey présenter ci-après on donnent des exemples de réduction et d’approche pour réduire cette consommation.

Enfin, Écolgiste, Économiste, Philosophe, monsieur et madame tout le monde,  est-ce qu’il est pertinent de  de se demander la question suivante…

l’écologie amène des économies? ou des besoin d’économies nous force à  l’écologie?

Qu’en pensez-vous?

Retour à Montréal

Le 30 juin dernier marquait la fin de mon mandat olympique.
Nous avons récupéré la majorité des équipements et avons réussi à leur trouver une seconde vie. J’ai dit au revoir à une équipe fabuleuse qui par leur expertises ont su faire de ce projet un succès.
Afin de mettre du piquant, pour le retour nous avons traversé les Rocheuses et la partie nord des États-Unis jusqu’à Montréal.
Les moments forts de ce voyage ont été sans aucun doutes le sommet de Jasper, la visite du Glacier Athabasca, et la route du icefield parkway.
Les moments qui furent instructifs ont été la visite du Royal Tyrrell Museum, le site du
Head smashed in buffalo jump.
Et du coté américain, on ne peut passer sous silence l’oeuvre de Borglum, le Mt Rushmore, gigantesque et spécial de voir ces visages tailles dans le roc.

Nous avons terminé le voyage en visitant Niagara Falls et le zoo de Toronto, selon moi les deux valent la peine. Pour ce qui est de Niagara Falls c’est un peu commercial, mais une fois qu’on observe la force des chutes ont oublie vite les commerces.

Ce fut 2 belles années à Vancouver qui se sont terminés.

Maintenant de nouveaux défis s’offriront a moi et j’ai hâte de les relever!

GREENPEACE ou tel est pris qui croyait prendre…

 

Je ne sais pas pour vous mais des appels marketing ou des visites de colporteurs durant l’heure du souper ça me déplaît.

Je dois avouer que depuis que je suis à Vancouver, les appels ont été limités à la famille, les amis et une fois par le Vancouver Sun qui avait fait un mauvais numéro. Par contre les visites impromptues se sont multipliées depuis les dernières semaines, scouts, Fondation des maladies du cœur, Fondation du Cancer, etc.

Ce soir surprise, ce fut différent. Un bénévole de Greenpeace est venu cogner à ma porte.

Il a un cartable avec le logo de Greenpeace et un collant écrit « Save the Grizzlis! ». Cool! que je me suis dit, enfin je risque de devenir officiellement écolo, en plus que Miss. ingénieur et fillette ingénieur veulent faire du composte au retour à Montréal.

Au premier abord le jeune est sympa, il me raconte qu’il y a des espèces de poissons menacées et que nous ne devrions pas les consommer. Il me parle alors de la nouvelle politique de Loblaws qui a accepté de ne pas vendre ces poissons.

J’ai répondu :

« Ah oui, j’ai entendu ça à CBC French radio ».

 

Ensuite, il m’a parlé du lobbying que Greenpeace fait sur le gouvernement américain relativement à l’écologie et… pouf!! j’ai commencé à décrocher, je me suis dit :

« Ou est-ce qu’il s’en va?! Oui BP c’est une catastrophe terrible, ma question est: Qu’est –ce que Greenpeace fait comme lobbying auprès du gouvernement canadien, pour éviter ca?  ». Dans le même paragraphe mon écolo, me dit que Greenpeace a besoin de moi et de mon argent pour poursuivre son lobbying et c’est là qu’il me présente un super formulaire papier que je dois remplir et lui donner l’argent dans 1 mois. « Euh?!? » il venait de me perdre. Le poisson menacé venait de lâcher la ligne.

Je lui ai demandé :

« Puis-je m’inscrire en ligne? » la réponse : « Oui, mais ca coûte beaucoup plus cher de traitement via l’internet. »

Re Euh!!… Mon coté écolo est sorti soudainement, je lui ai lancé,:

Et bien mon cher ami vous n’êtes pas très écologique dans votre approche, vous me demandez de remplir un formulaire papier? C’est ça? Vous voulez me faire croire que ça coute plus cher de traiter ma demande en linge? 

Vous avez coupé des arbres pour me faire remplir un document papier que je vais tacher d’encre?

Vous allez poster mon formulaire à votre siège social pour ajouter mon membership? Ce document aura été transporté par la poste en utilisant des véhicules qui contribuent au gaz a effet de serre?

Vous auriez du voir le visage du pauvre bougre… il venait de se faire prendre à son propre jeu écolos

Enfin, si quelqu’un de Greenpeace lit cet article, j’ai 2 suggestions pour vous:

  1. je crois que vous devriez revoir le message de vos bénévoles qui font du porte à porte, pour inclure un contenu un peu plus local,
  2. Que vos webmestres et spécialistes web se recycle, pour comprendre les avantages du commerce électronique, si effectivement vos coûts de traitements de transaction sont trop élevés.

Ma question philosophique de ce soir…

Suis-je écologique? Je vais dormir la dessus.

BPV … Qu’est ce que c’est ?!?

Je viens de tomber sur un article de informIT via le site des CMA sur la gestion de la performance. Comme le mentionne le résumé qu’on retrouve sur le site des CMA,

Les auteurs de cet article soutiennent que l’époque de l’impartition et de la réingénierie des processus est révolue et que l’heure est maintenant à la virtualisation des processus d’affaires (Business Process Virtualization, ou BPV)! Tout comme ses précurseurs, la BPV a pour but d’alléger les processus d’affaires afin de rendre l’entreprise plus efficace. Selon les auteurs, du fait qu’elle conjugue les avantages de ses deux ancêtres, la BPV permet d’obtenir de meilleurs résultats à long terme.

Étant de nature curieuse, j’ai décidé de lire cet article afin de mieux comprendre ce nouveau “buzzword”. Voici le lien: Business Process Virtualization, Outsourcing and Process Reengineering.

 

Le concept est en soit intéressant, par contre je crois qu’il manque certains éléments qui auraient dû être pris en compte. 

Je suis d’accord avec les auteurs que des dirigeants d’entreprise ont “surfer” sur des changements radicaux qui au bout du compte n’ont pas donner les résultats escomptés. Trop souvent, j’ai vu des initiatives de réingénierie couper court par manque de planification ou carrément par manque de ressources afin de s’assurer d’une gestion du changement efficace.

De plus, les auteurs parlent de la réingénierie comme une approche “one shot”, alors que même les pères de la réingénierie ( Hammer et Champy) parlaient en 1993 de cycle de réingénierie ou  d’amélioration continue. 

Ce qui me fascine de cet article, c’est leur approche ressemble étrangement a une méthode que j’ai apprise à l’Université, voilà plus d’une décennie. On nommait cette méthode Simulation

Enfin, je crois que le BPV ou la Simulation est un autre outil à ajouter dans son coffre d’outil dans un contexte d’amélioration de processus continue, mais n’est pas, selon moi, la solution miracle à tout les processus déficients. Pour le moment je met le mot BPV dans la catégorie “mot du jour”.

 

 

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