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Mon précieux… Ou la relation difficile avec l’argent

 

 

Je viens de lire un article sur le site du New Scientist  intitulé Why money messes with your mind.

À la lecture de ce dernier je ne pouvais m’empêcher de penser à Smeagol ou Gollum dans le Seigneur des Anneaux, Rémi dans les Invincibles ou pour sortir de la fiction à Bernard Maddoff, ou certains dirigeants d’Enron, ou de Nortel.  Ils ont tous de drôles de relations avec l’argent.

Dans cet article, le New Scientist nous présente des études qui démontre que le simple fait de parler, de penser  aux mots reliés à l’argent nous fait devenir une autre personne.

Il semble que juste d’y penser on devient plus autonomes et moins enclins à aider les autres. De seulement manipuler des billets on observe une modification de comportement. Les gens ressentent moins le rejet social. En plus, l’argent semble même réduire la douleur physique.

Un nouveau Messie quoi?

Pourtant la définition du mot argent est très terre à terre

L’argent ou argent métal est un élément chimique de symbole Ag — du latin Argentum — et de numéro atomique 47

Euh non ce n’est pas ça!

Essayons monnaie, selon Wikipedia

La monnaie est un instrument de paiement spécialisé accepté de façon générale par les membres d’une communauté en règlement d’un achat, d’une prestation ou d’une dette. Elle a trois fonctions principales :

  • la fonction d’intermédiaire dans les échanges,
  • la fonction d’expression des valeurs et d’unité pour le calcul économique et la comptabilité,
  • la fonction de réserve de valeur.

Simple, non?

Non, selon les études cités dans cet article démontre que l’argent vient touché une ancienne partie de notre cerveau. Cette dernière fait prendre des décisions parfois irrationnelles.

En effet la relation face à l’argent d’un individu à l’autre est différentes. Certains l’accumule, d’autre la dépense, certains la vénère, et d’autre l’utilise pour élever leur statut social.

Enfin pour ceux qui pense que la crise économique éliminera la surconsommation ou amènera les gens à faire de la simplicité volontaire détrompez vous. L’argent a été, est et sera toujours utilisé comme symbole de statut social.

Et vous comment est votre relation avec l’argent?

 

 

Je vous invite à lire l’article

Pensez-y…

Je viens de retomber sur un exercice qui a été fait lors  2008 APICS International Conference & Expo World Café.  On commençait à entendre des échos de la crise économique et de ses impacts sur notre économie.

Lorsqu’on regarde ce vidéo j’ai l’impression que la crise aura peut-être un effet catalyseur sur les faits qui y sont présentés. Inquiétant? peut-être.

Je ne détiens pas la vérité et je suis loin de me prétendre spécialiste en économie ou en géopolitique. Par contre, je me lance avec mon opinion de la situation.

La présentation débute en posant la question

Reconnaîtrez vous le monde de demain?

En septembre 2008,  les 10 économies les plus importantes , selon APICS et lIMF, étaient les suivantes:

  1. États-Unis
  2. Japon
  3. Allemagne
  4. Chine
  5. Royaume-Unie
  6. France
  7. Italie
  8. Espagne
  9. Canada
  10. Brésil

On y mentionne que d’ici 2025 la Chine pourrait se retrouver en première position et que les manufacturiers américain auront perdu près de 10% de leur part de marché global. Le Brésil pourrait se retrouver deuxième ou troisième d’ici 2036. Enfin que les pays émergents compteront pour 50% de l’économie totale d’ici 2025.

Un fait intéressant selon moi est la statistique relativement au pourcentage des manufacturiers sondés qui indique que 80% d’entre eux ont de la difficulté à trouver de la main-d’œuvre qualifiée. On y fait alors un lien de cause à effet en disant que l’impartition continuera.

Je suis partiellement d’accord avec cette affirmation,  mais parlons-nous d’impartition lorsque la compagnie qui fait le travail est détenue en grande partie par la compagnie qui fait affaire avec elle? Je crois que nous parlons ici de mondialisation des ressources. Par extension une mondialisation de la chaîne d’approvisionnement de ces entreprises, que de boulot pour quelqu’un comme moi! 

Je suis d’accord avec  APICS, que la flexibilité de la chaîne d’approvisionnement deviendra une stratégie clé afin d’améliorer la qualité des produits et l’expérience client. Pour y arriver dans un contexte mondial il faudra que les pays et leur stratégie économique  évitent le protectionnisme qui aura pour effet, selon moi, de poursuivre cette crise à plus ou moins long terme et on aurait alors sur les bras une crise de ressources pour redémarrer cette économie.

Quels sont les solutions?

Encore une fois, je le répète, je n’ai pas la vérité ou la solution miracle, mais voici ce que je pense en quelques points:

  • Ouverture: Il faut s’ouvrir, s’ouvrir au monde… le comprendre
  • Compréhension: Comprendre les risques de la mondialisation sur mes opérations… par exemple quand la Chine éternue, quel sera l’effet sur le prix de production de mon jambon (une hyperbole, vous l’aurez constaté)
  • Éducation: Éduquer les gens au fait que la terre se  rapetisse par les technologies. L’Union Européenne en est un bon exemple. Ils ont réussi par l’éducation à unir leurs destinés alors que voilà moins de 100 ans ces pays étaient en guerre.
  • Équité: Reconnaître la valeur des gens, peu importe le sexe, l’origine, la religion. Nous avons tous  des talents et notre culture devient une force pour  permettre au monde d’avancer.

Enfin crise ou pas les faits demeurent. Les entreprises devront s’adapter. Selon moi, l’innovation est l’élément essentiel pour le développement et la croissance des entreprises et de l’économie mondiale. La chaîne d’approvisionnement deviendra un élément encore plus critique dans les prochains mois pour ces entreprises.

Chers collègues sortez  de l’ombre car comme le dit Jean Monnet:

Les hommes n’acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise.

Votre expertise est aujourd’hui nécessaire!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photo: Musée Rodin

HOUSTON, We’ve got a problem… (la suite)

Hanté par ma montée de lait d’hier, j’ai cherché à voir si j’étais le seul à ressentir ce genre de sentiment face à cet hypocrisie que nous avons d’éviter le mot qui débute par P. De se mentir collectivement face a une situation problématique.

Je suis tombé sur cette conférence de  Tony Robbins, un homme que j’admire pour son approche de programmation neuro linguistique (PNL) et aussi pour son charisme lors de ses discours. Il a la capacité de galvaniser une salle c’est impressionnant.

En écoutant le vidéo ( inspirant plus que motivant ) il dit une chose qui a fait “tilt” dans mon petit cerveau.

Traduction/interprétation de mon cru…

 

…Un des besoins des hommes est la certitude qu’ils sont en contrôle, qu’ils savent faire face aux situations,…

… un autre de nos besoins est l’incertitude, de pouvoir garder notre intérêt et évoluer…

Comme vous l’avez vue dans mon billet précédent, par définition un problème est une situation complexe,  une incertitude. C’est donc quelques choses qui devrait nous permettre d’évoluer et d’avancer.  Un événement qui est hors de notre contrôle, et que l’on voudrait bien  reprendre le contrôle. Une opportunité… Ô mon dieu!!!Révélation ultime! (On remarque ici l’hyperbole… la figure de style, pas la figure géométrique)

Ce qui me fascine dans tout ça c’est le lavage de cerveau qu’on fait subir dans les milieux corporatifs et dans certains ouvrages de croissances personnelle. On fait croire que le mot opportunité égale le mot  problème et vice-versa que ces deux mots sont  interchangeables.

Pour l’avoir observé, on retrouve des gens qui dans leur tête associe le mot opportunité à problème. Chez ces gens , devant une superbe opportunité, ils  ne prendront pas les actions pour en bénéficier  car ils ne veulent pas faire face à ce qu’ils croient être un problème. 

Selon moi, dès le moment ou on fait face à un problème, il  force à réfléchir, seul ou collectivement. Lorsqu’on affirme dès le départ que le problème était opportun on fait preuve d’aveuglement individuel ou collectif. 

L’étape d’assimilation de problème, de “digestion” des faits est importante. Cette étape pourra déboucher sur plusieurs opportunités de résolution du dit problème.

Pour les matheux la formule est simple:

Assimilation du Problème + Analyse des faits = Opportunités Multiple

Enfin la morale est:

Un problème et son analyse résulteront en plusieurs opportunités de résolution!

 

C.Q.F.D

 

Si vous avez un peu de temps, écoutez le… il a  l’audace de tirer la pipe à Al Gore sur sa défaite aux présidentielles…

Houston, We’ve Got A Problem…

Cette fameuse citation de Jim Lovell sera le point de départ de mon billet, et d’une mini montée de lait.

J’en ai marre!! oui j’en ai marre pouvons-nous appeler un problème un problème?

J’ai l’impression que les gens autour de moi se mettent des lunettes roses quand il me dise

Hugues n’appelle pas cette situation un problème! c’est une opportunité!

Moi: de me mordre la lèvre supérieur pour refreiner un cri primale!

ou

Hugues ce n’est pas une problème, appelle ça une occasion!

Hugues it’s not a problem it’s an issue or a concern!

Moi: de refreiner une envie folle d’utiliser le fameux F word ou de bâtir une cathédrale!

Hey groupe! dans le monde dans lequel moi je vis si ma voiture ne démarre pas j’ai un problème, quand le gaz monte en flèche j’aurai un problème de cash flow, quand je perds 5-0 au hockey j’ai un problème avec l’équipe devant moi ou  qu’il réside dans la façon que je goal (garde les but), quand ma fille est malade et que je ne peux pas aller la chercher à la garderie j’ai un problème! Si mon imprimante plante quand je dois remettre mon rapport j’ai un problème. Si un procédé ne fonctionne pas j’ai un problème!!! Vous avez compris le principe? J’espère!

J’ai fait une petite recherche pour vous autre! J’ai regardé la définition du mot problème

Définition selon l’internaute

Sens 1 Question à résoudre de façon scientifique. Synonyme question

Sens 2 Situation complexe, ennui. Ex Il a de gros problèmes. Synonyme souci

Définition selon le grand dictionnaire

Situation non désirée dont la cause fondamentale d’un ou de plusieurs incidents existants ou potentiels est inconnue.

Je me suis dit que peut-être mes amis Anglos ont une autre définition…

Définition selon thefreedictionnary.

prob·lem (prblm)

n.

1. A question to be considered, solved, or answered: math problems; the problem of how to arrange transportation.

2. A situation, matter, or person that presents perplexity or difficulty: was having problems breathing; considered the main problem to be his boss. See Usage Note at dilemma.

3. A misgiving, objection, or complaint: I have a problem with his cynicism.

adj.

1. Difficult to deal with or control: a problem child.

2. Dealing with a moral or social problem: a problem play.

Voyez-vous quelque part le mot opportunités? occasions?

Allons plus loin…

Grand dictionnaire

Opportunité: Qualité de ce qui est opportun, de ce qui arrive à propos, ou qui est favorable

thefreedictionnary

op·por·tu·ni·ty (pr-tn-t, -ty-) n. pl. op·por·tu·ni·ties

1.

a. A favorable or advantageous circumstance or combination of circumstances.

b. A favorable or suitable occasion or time.

2. A chance for progress or advancement.

Hey mon char ne démarre pas!! c’est avantageux? c’est à propos? oui si j’étais pour me rendre au travail et avais un accident!

Le procédé ne fonctionne pas, c’est opportun j’ai 500 gadgets à livrer pour demain!! super opportun!

Vous allez me dire,

Hugues c’est comme ca que mon patron m’a demandé de lui présenter mes problèmes!

Soit que votre patron, collègue ou partenaire est déconnecté du plancher des vaches. Il verra bien que vous avez un PROBLÈME et s’il ne le connait pas alors il ne pourra pas savoir ce qui en retourne et voir comment il peut vous aider.

Ce que votre patron, collègue ou partenaire vous demande c’est de lui fournir ce que vous avez fait ou comptez faire pour résoudre ce problème. C’est ça la demande!

C’est aussi pour ça qu’il existe des techniques de résolutions de problèmes, elle ne s’appelle pas des technique de résolution d’occasions ou d’opportunités!

 

Enfin, Jim Lovell n’a pas dit “Houston, I have an opportunity!” il a dit “Houston we’ve got a problem!” En d’autre mots “Hey les boys j’ai un problème, vous êtes aussi bien de vous attelez pour m’aider sinon je crève!”

Donc désormais, pouvons-nous appeler un problème un problème?

Excusez-là!

 

L’innovation et la crise…

Depuis plusieurs semaines maintenant on entend parler de la crise et de ses impacts sur nos entreprises et nos vies.

Ce tsunami a touché des géants auxquelles on ne s’attendait pas Toyota, Honda, Motorola, GE, Microsoft  et d’autres chez lesquelles, en observant leur modèle d’affaires on se doutait bien qu’ils éprouveraient beaucoup de plus de difficultés que les premiers comme Ford, GM, Chrysler, et Nortel.

Ce qui me frappe dans cette situation c’est le cas de Toyota, Motorola, GE qui ont été cités dans des ouvrages comme étant des “pionniers” en amélioration continue et en réingénierie, et qui aujourd’hui semble avoir perdu leur repères. 

Vous me direz

Hugues ça n’a rien avoir…c’est à cause des mauvaises décisions financière! du contexte économique!

Hum!.. peut-être par contre la situation est telle que les entreprises doivent trouver des moyens de couper leur coûts et augmenter leur revenus pour retrouver une  profitabilité.

C’est là que, selon moi, l’innovation entre en ligne de compte, pour y arriver les entreprises doivent se réinventer et prendre les actions essentielles pour améliorer leur sort. Devenir plus flexible, offrir une valeur ajouté à leurs clients sans toutefois leurs refiler la facture pour ses pertes. Elles doivent poursuivre et établir des partenariats gagnants avec clients et fournisseurs qui leur permettront de  se distinguer.

Vous me direz ce n’est rien de nouveau! c’est la base d’une gestion saine.

Alors allons y! pourquoi avoir attendu si longtemps?

Selon moi aujourd’hui l’urgence est là! Elle nous donne une poussée dans le dos pour sauver notre peau. Les décisions de gestions difficiles qui ont été mise de cotés voilà plusieurs mois ou plusieurs années deviennent maintenant une priorité et doivent être prises.

Les individus doivent devenir plus flexibles et pouvoir selon leurs compétences et leurs talents en faire un peu plus, pas nécessairement en quantité, mais en qualité, comparativement à ce qu’ils avaient l’habitude de faire. (Je ne me ferai pas d’amis parmi les syndicaliste et les fans du Taylorisme, mais c’est la réalité.)

Selon moi ce tsunami, une fois le choc passé,  permettra de  voir de superbe innovations et de nouvelles approches de gestion comme tout l’aspect de gestion responsable et durable, la gestion collaborative, le web 2.0, la gestion des connaissances, et autre.

Je suis content d’en faire parti! Peut-être suis-je trop optimiste!?

 

Les Temps modernes de Charles Chaplin

La semaine – En Vrac…

Un billet facile…

Journée de la femme… Mesdames je vous salue!

Le thème de cette année Force du leadership. Force des femmes. Force du monde : Égalité

Fait:

En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution invitant les États membres à proclamer une journée pour les droits de la femme et la paix internationale. À l’instar des Nations Unies, le Canada a désigné le 8 mars Journée internationale de la femme (JIF).

Un petit vidéo touchant… d’une histoire lue et relue dans les chaînes de lettres.

Finalement ce qu’il faut surveiller cette semaine…

  • Décompte des 339 – 334 jours avant les Jeux Olympiques de Vancouver 2010
  • Un vendredi 13
  • et surement un billet plus substantiel…

Bonne semaine!

Les effets secondaires des objectifs de performance

Vous vous souvenez de mon article concernant L’Exorciste de l’entretien annuelle d’évaluation… Je vous parlais du processus d’évaluation et de la subjectivité des objectifs. Et bien heureusement, je ne suis pas dans les “patates” ou dans les “choux” pour mes amis français.

Je viens de lire un document de travail, du Harvard Business School publié le 11 février dernier, intitulé Goals Gone Wild: The Systematic Side Effects of Over-Prescribing Goal Setting. Dans beaucoup d’entreprises, on fait l’éloge de l’établissement d’objectifs afin d’améliorer la motivation et la performance des employés. On demande alors à l’employé d’établir des objectifs spécifiques et motivant. Ils devraient l’amener plus loin que de “faire son mieux”.

Les auteurs de ce document propose que les caractéristiques des ces mêmes objectifs peuvent faire plus de mal que de bien.

On y présente des exemples frappant comme l’histoire du développement de la Pinto et de ses problèmes de design. Ou les dirigeants de Ford (Lee Iacocca) s’étaient donné un objectifs de produire une voiture de moins de 2000 lb avec des coûts de fabrication a moins de 2000$, ils ont réussi par contre ils ont produit une voiture qui prenait feu lorsqu’elle était frappé par derrière. Les dirigeants ont négligé d’autres objectifs essentielles, comme la sécurité des utilisateurs.

Je vous invite à lire ce document, il est intéressant et je vous invite à émettre vos idées sur le sujet!

 

manque de vision chez les cadres féminins?

Aujourd’hui j’ai eu un entretien de corridor avec quelqu’un qui me disait ceci:

“Hugues j’ai besoin de ton cerveau logistique et réingénierie pour revoir ce processus. J’ai beaucoup de respect pour elle et je l’aime beaucoup mais je crois qu’elle n’a pas la vision qu’il faut pour établir le bon modèle.”

J’ai été déconcerté par ce commentaire, car ayant travaillé depuis plusieurs mois avec cette collègue j’en pense tout le contraire. Je lui ai dit que je prendrais le temps de revoir avec elle son plan de match, mais que je crois qu’il est très bon considérant ce que nous savons du projet.

Ce commentaire est resté collé dans mon esprit une bonne partie de la journée jusqu’à ce que je reçoive un  “newsletter” qui titrait “Do Female Execs Lack Vision?”. Il n’en fallait pas plus pour réveillé mon petit coté féministe. Ayant travaillé et travaillant avec des femmes exceptionnelles je voulais en savoir plus.

J’ai donc suivie le lien de la source de cet article, en fait c’est une recherche faite par l’INSEAD, qui s’intitule  Women and the ‘vision thing’. J’ai lu et relu l’article et visionné le vidéo.

Les faits

Cette étude a été faite par des femmes

Cette étude a été faite en analysant:

  • plus de 2 800 rétroaction 360 degrés de femmes cadre.
  • et plus de 22 000 évaluations faite par l’INSEAD Global Leadership Center

Les constats de l’étude

  1. Les femmes ont peut-être une vision par contre elle semble utiliser un processus différent pour établir leur stratégie a long terme. Elle semble faire une gestion par consensus plutôt que d’établir une vision indépendante.
  2. les femmes ont peut-être une vision mais hésite à la mettre en œuvre parce qu’elle n’ont pas toutes les analyses pour les supporter ou parce qu’elle sont plus fréquemment contestées dans le milieux des affaires.
  3. les femmes peuvent ne pas valoriser les déclarations visionnaires. Certaines femmes sont sceptiques vis-a-vis les déclarations visionnaires et  les interprète comme un peu un travail de vente. Beaucoup de femmes interviewées ont dit qu’elles croient que faire le travaille est ce qui devrait importer dans les affaires.

Mon point de vue

  • Je crois, comme le point 1, que les femmes ont une stratégie différente pour élaborer leur vision. Selon moi c’est une force.
  • Je crois aussi que certains gestionnaire ne font pas preuve de discernement et ne donne pas la chance au coureur en se basant seulement sur leurs perceptions. Voilà pourquoi j’aime tellement 6 sigma qui donne vraiment la place aux faits. Que l’analyse viennent d’un homme ou d’une femme on a la même approche… pour ce qui est de les présenter c’est différent.
  • Enfin pour le dernier point, je crois que certaines visions d’entreprises sont un speech de vente. Ou alors c’est que mon coté féminin ressort.

Je me trompe peut-être, mais je crois que c’est un phénomène générationnelle. Il existe encore beaucoup de machisme au sein de nos entreprises, et je crois que malheureusement pour les machos cette époque est en déclin.

Et vous qu’en pensez-vous?

[photo]

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M-A-J:

En allant au boulot se matin j’écoutais Christiane Charette et elle relate un article de Chantal Hébert alléguant que M. Harper n’ose pas donner d’entrevue aux femmes… Voilà un autre bel exemple selon moi de machisme mal placé.

voir l’article de Chantal Hébert à ce sujet.

Pour sa défense son bureau à sûrement annoncé qu’il avait commencé hier matin, lors de sa visite aux USA, à FoxBusiness… Je crois qu’il n’avait pas le choix, il devait le faire. Il essayait de vendre “son modèle” Canadien.

Peut-être qu’il considère que les canadiens et les canadiennes n’ont pas a se faire vendre ce même modèle qui lui a value d’être minoritaire…  Pensez-y!

Enfin, à mes congénères je pose la question suivante:

Vous avez peur de quoi messieurs? que votre ego en prenne un coup So be it! vous allez apprendre et le monde s’en portera mieux!

Le génie de la lampe…

 

Voici un vidéo qu’une amie m’a suggéré de regarder… inspiré et inspirant.

Une autre façon de voir le génie…

 

Bonne écoute…

 

la personnalité

Je me suis amusé à faire des tests de personnalité… en essayant de reconditionné un veil ordinateur.

J’aime bien m’amuser et je trouve ça intéressant et curieusement aujourd’hui ils semblent bien me coller à la peau…

http://www.cmypeople.com/cmyself.aspx 

En voici un autre du type Myers-Briggs qu’on retrouve sur le site similarminds.com

 

ENTP – "Inventor". Enthusiastic interest in everything and always sensitive to possibilities. Non-conformist and innovative. 3.2% of the total population.

Free Jung Personality Test (similar to Myers-Briggs/MBTI)

 

Amusez-vous!

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